#BON

2007 – douelle (46)

Il y a, dans le travail d’un architecte, des obsessions.
J’aime les murs blancs, lorsqu’ils se dessinent par contraste dans un paysage éthéré.
J’aime les patios, intimes lieux d’un repli ultime, en quête de sérénité.
Cette quête partagée finit par convaincre Madame et Monsieur B. de nous confier la construction de leur maison. Notre rencontre sur le site laissait pourtant présager d’un projet délicat. Leur terrain, en effet, se trouvait au cœur d’un paysage dégagé : une plaine alluvionnaire lentement constituée à l’intérieur de l’un des nombreux méandres du Lot. Il n’y avait là que de vastes champs de vignes et terrains agricoles, ponctués de quelques habitations diffuses. Le paradoxe voulu que sur ce terrain plutôt ouvert, le projet constitua une intimité protectrice des vues immédiates.
Le recours au type séculaire de « la maison à patio » nous apparu conjointement comme une évidence. Nous avons alors organisé les différents éléments du programme suivant deux parties distinctes : l’habitation principale et « l’appartement d’été », destiné à accueillir les amis ou la famille.
La composition en « U » de l’ensemble, complétée par la piscine, devait contenir un jardin intérieur, véritable « pièce à ciel ouvert ».

Franck Martinez architectes

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